lundi 12 décembre 2011

Immigration




Immigration désigne le mouvement de personnes d'un pays quelconque vers un autre pays dans le but de s'y établir. Il s'applique aux personnes à qui les autorités de l'immigration ont accordé le droit de résider au Canada en permanence. Ce concept s'applique généralement aux personnes nées à l'extérieur du Canada mais peut aussi s'appliquer à un petit nombre de personnes nées au Canada, de parents qui sont citoyens d'autres pays. De la même façon, un petit nombre de citoyens canadiens par naissance sont né(e)s à l'extérieur du Canada de parents canadiens. La désignation du statut d'immigrant reçu est accordée à vie, aussi longtemps qu'une personne réside au Canada. Par conséquent, les immigrants sont classés selon la période d'immigration dans le but de faire la distinction entre les personnes arrivées récemment et celles qui résident au Canada depuis un certain nombre d'années.

L’immigration clandestine est un phénomène qui constitue, néanmoins, un blocage pour le développement des pays pauvres, car motivé par le sous emploi des jeunes de ces pays .La résolution de ce problème est tributaire de la création des postes de travail par le biais des investissements Les grandes puissances de l’économie mondiale ont donc à leur charge l’investissement dans l’industrie lourde dans les pays africains qui fournissent cette immigration, afin de stabiliser les citoyens et en l’occurrence éviter l’envahissement de l’occidents par ces sans emploi.

Les pays, dits industrialisés ; ceux qui détiennent les économies et les finances de cette terre sont tous conscients de la gravité du phénomène pour le devenir du globe dont la population mondiale, surtout des pays sous développés, ne fait que s’accroître d’année en année. Ces puissances qui absorbent, en fait toutes, les ressources, toutes les énergies et mêmes toutes compétences de ces pays démunis, sont à l’origine de ces problèmes sociaux, car ils les ont longtemps colonisé, ce qui fait d’eux des pays aliénés et les condamne à rester pauvres, et à la merci de ces quelques pays riches au mondes, qui ne dépassent pas le chiffre sept.

Par conséquent, les citoyens de ces pays aliénés, deviennent de plus en plus pauvres, car aucune chance ne leur est offerte pour améliorer leur sort. Résultat : immigrer clandestinement vers ces pays du nord qui, aux yeux des pauvres regorgent d’opportunités de travail, d’avenir, de vie agréable.......etc.
Conséquence : les jeunes qui immigrent de manière illégale, se trouvent jetés dans les rues comme de torchons, dorment dans le gare des métros, cherchent à manger dans les poubelles, et donc tombent malades pour devenir des cas sociaux graves dans ces pays.

Quelle est la solution donc qui peut être empruntée pour amortir ce danger ? Comment s’ y prendre ?

C’est très simple, si les occidentaux veulent la paix pour leur pays et du bien pour ceux du Sud, il est important de penser à leur créer de l’emploi chez eux, en investissant dans l’industrie, le textile, l’agriculture, la pêche, l’élevage......dans le tourisme...
A titre d’exemple, l’industrie des loisirs est l’un des secteurs au monde qui peuvent absorber un nombre important de main d’œuvre. Et l’Afrique est un des continents qui regorgent de potentialités et d’atouts naturels de valeurs et de ressources naturelles et humaines qui s’apprêtent au développement du tourisme, surtout d’évasion et d’aventure. Les autorités des pays riches de la région (du bassin méditerranéen) doivent penser à ce genre d’économies et d’essayer de développer des infrastructures de base à même d’accompagner l’épanouissement socio-économique local, en créant des activités de niche, et de proximité.

Ce procédé sera bénéfique pour toutes les parties : pour les uns cela crée de l’emploi et stabilise les citoyens pour les autres favorise la production à des coûts moins chers, avec des matériaux moins chers.
Ceci va aussi favoriser l’instauration de la paix dans le monde et assurer la sécurité sociale dans toutes les régions du globe...

Sans l’adoption de cette stratégie, l’immigration clandestine ne sera jamais stoppée dans le monde entier, car il est normal et légitime qu’un affamé de l’Afrique centrale ou de l’Afrique noir s’enrage et cherche à aller là où un morceau de pain lui est offert, et son unique rêve est d’aller vers l’occident, et la Maroc en pays les pots cassés, car situé à la croisée des deux continents.

Les raisons de l'immigration

Pour le migrant, l'immigration peut avoir une ou plusieurs raisons :

§ Professionnelle (mission de longue durée à l'étranger) et études ;

§ Politique (réfugié politique fuyant les persécutions) ;

§ Sécuritaire, notamment en cas de guerre dans le pays d'origine ;

§ Économique (habitant de pays pauvres cherchant un meilleur niveau de vie dans les pays riches, éventuellement temporairement) ;

§ Personnelle (volonté de s'installer dans un pays par goût, par exemple si l'on se reconnaît dans ses valeurs) ;

§ Familiale (rejoindre le conjoint, l'enfant déjà installé).

§ Fiscale (l'installation dans un pays offrant un niveau d'imposition moins élevé)

Pour les États, l'immigration peut permettre de faire face à un déficit des naissances ou encore assurer une quantité ou qualité de main-d'œuvre suffisante. Toutefois, l’immigration illégale va au-delà des souhaits des pays d’arrivée.

Aujourd'hui, les flux de migrations sont orientés aussi bien des pays en développement vers les pays développés que d'un pays développé vers un autre1. Les plus forts taux de travailleurs immigrés dans la population active se retrouvent dans les pays du Golfe Persique : 90 % aux Émirats arabes unis, 86 % au Qatar, 82 % au Koweït.

Un migrant peut ne pas être en règle au regard de la législation sur l'immigration en vigueur dans le pays de destination.

Des communes victime d'exode rural, comme Riace depuis 1998, en Italie ont une politique volontariste d'accueil de l'immigration visant à entretenir leur démographie et la vie économique locale2. En 2011, L'Osservatore Romano (le quotidien du Vatican) a cité cette bourgade comme un exemple à suivre vis-à-vis des immigrés.

Beaucoup de personnes quittent leurs pays pour aller se réfugier dans un autre. Ils n’ont ni les mêmes raisons, ni les mêmes origines mais ils ont comme point commun le déplacement. On les appelle les migrants.

Des raisons politiques

Tout d’abord il y a les migrants qui fuient la misère de la guerre ou les persécutions. En effet, dans certains pays, des personnes sont torturées et/ou retenues prisonnières car elles n’ont pas les mêmes idées ou opinions que les politiciens. On dit qu’elles migrent pour des raisons politiques. Elles sont le plus souvent des immigrants clandestins.

Des raisons économiques

Ensuite il y a les migrants qui partent pour trouver un meilleur travail et rapporter de l’argent a leur famille. Ils sont originaires de tous les continents, de tous les milieux. Ils ont parfois des diplômes et, dans la plupart des cas, sont des immigrants légaux. Les autres, qui n’ont pas de diplômes et sont parfois analphabètes, sont le plus souvent des immigrants clandestins, ils doivent alors travailler illégalement.

Des raisons familiales

Enfin viennent les migrants qui changent de pays simplement pour revoir leur famille. D’autres parce qu’ils y sont nés ou y ont vécu. Parfois simplement parce qu’ils ont aimé le pays pendant leurs vacances et ont décidé d’y vivre.

Les migrants peuvent donc être de tous âges, de toutes origines, de toutes couleurs de peau…Bref de partout.

Pour le migrant, l'émigration peut avoir une ou plusieurs raisons :
professionnelle (mission de longue durée à l'étranger) et études ;
politique (réfugié politique fuyant les persécutions) ;
sécuritaire, notamment en cas de guerre dans le pays d'origine ;
économique (habitant de pays pauvres cherchant un meilleur niveau de vie dans les pays riches,éventuellement temporairement) ;
personnelle (volonté de s'installer dans un pays par goût, par exemple si l'on se reconnaît dans ses valeurs) ;
familiale (rejoindre le conjoint, l'enfant déjà installé).
fiscale (l'installation dans un pays offrant un niveau d'imposition moins élevé)

Pour les États, l'immigration peut permettre de faire face à un déficit des naissances ou encore assurer une quantité ou qualité de main d'œuvre suffisante. Aujourd'hui, les flux de migrations sont orientés aussi bien des pays en développement vers les pays développés que d'un pays en développement vers l'autre [1]. Les plus forts taux de population immigrée se retrouvent dans les pays du Golfe Persique : 90 % aux Émirats arabes unis, 86 % au Qatar, 82 % au Koweït. Dans le cas où un migrant n'est pas en règle en regard de la législation sur l'émigration en vigueur dans le pays de destination, on parle d'immigrant clandestin. Une controverse existe sur le sens à donner au mot immigration : s'agit-il simplement de changer de lieu (immigration temporaire) ou bien de changer d'histoire (dans le cas d'une immigration souhaitée durable et avec un désir d'intégration de ses enfants à la communauté nationale). Ce débat est souvent abordé dans ses livres par Jean-Claude Barreau, chargé de questions d'immigration sous trois gouvernements français successifs alternant les couleurs politiques.

L'immigration clandestine
L'immigration clandestine concerne, les habitants de pays pauvres cherchant un meilleur niveau de vie dans les pays plus riches et grand delta de démographie, ou des immigrants politiques non reconnus. L'immigration clandestine se fait donc illégalement : les clandestins prennent fréquemment des risques important pouvant mettre leur propre vie en péril afin de rejoindre des pays présentant des conditions de vie qu'ils espèrent meilleures. Ils n'hésitent donc pas à tout abandonner pour tenter l'aventure souvent « aidés » dans cette entreprise par des passeurs peu scrupuleux leur faisant payer un prix exorbitant pour leur fournir les moyens de franchir les obstacles naturels (mers, montagne, fleuve, etc.) ou humains (poste frontière) dans des conditions de sécurité extrêmement précaires.

Les voies de l'immigration clandestine
Vers l'Espagne, les passages se font par le détroit de Gibraltar depuis les côtes marocaines entre Larache et Hoceima et les côtes algériennes, à Oran. Pour les îles Canaries les bateaux partent depuis les côtes du Sahara occidental, entre Tarfaya et Dakhla, de la Mauritanie, à Nouadhibou, du Sénégal, de la Gambie et de la Guinée Conakry. Ceuta et Melilla, deux villes espagnoles au Maroc, sont deux autres point d'entrées pour l'Europe, même si leurs frontières sont fermées avec des doubles grillages des six mètres d'hautée.
Les routes pour l'Italie partent de la Tunisie et surtout de la Libye, entre Zuwarah et Misratah, se dirigeant vers l'île de Lampedusa et la Sicile. Dernièrement les migrants commencent à partir aussi depuis Annaba, en Algérie, vers l'île de Sardaigne.
Pour la Grèce les migrants clandestins passe par la Turquie et s'embarquent à partir des côtes turques au tour de Izmir, vers les petites îles grecque de Samos, Lesvos, Hios et Rhodes. Un autre passage est constitue par le confins entre Turquie et Grèce. Sur l'autoroute pour Alexandroupolis et Orestias, chaque année de milliers de migrant entrent en Europe cachés à l'intérieur des camion dirigés en Grèce. Un fois à Athens les migrants rejoindrent Patras pour s'imbriquer vers l'Italie, sur les ferry se dirigeant à Ancona, Brindisi et Venezia.

Chaque année des centaines de jeunes migrants meurent le long des ces routes-ci, victimes des naufrages comme du désert. En fait pour rejoindre la Méditerranéenne les migrants sub-sahariens traversent d'abord le désert du Sahara pour rentrer soit en Libye, soit en Algérie. Vers les États-Unis, les passeurs mexicains (appelés "coyotes") font traverser le Río Grande ou l'Océan Atlantique dans des conteneurs, contre plusieurs milliers de dollars.
Aux États-Unis, les citoyens volontaires forment des milices armées qui patrouillent le long des frontières mexicaines. La pauvreté est l'insuffisance des ressources matérielles (manque d'argent) et des conditions de vie, ne permettant pas à des êtres humains de vivre dignement selon les droits légitimes et vitaux de la personne humaine, et les condamnant aux dures difficultés de la survie au jour le jour.

Les victimes de l'immigration clandestine
Selon la revue de presse de Forteresses Europe 8.966 immigrés sont morts aux frontières de l'Europe depuis 1988, dont 3.079 sont disparus en mer. En mer Méditerranée ont perdu la vie 6.495 migrants. Dans le Canal de Sicile 2.023 personnes sont mortes, entre la Libye, l'Égypte, la Tunisie, Malte et l'Italie, dont 1.209 disparus, et 35 autres ont perdu la vie le long des nouvelles routes entre l'Algérie et l'île de Sardaigne; 3.086 personnes sont mortes au large des îles Canaries et du détroit de Gibraltar entre le Maroc et l'Espagne, dont 1.277 disparus; 693 personnes sont mortes en mer Egée, entre la Turquie et la Grèce, dont 343 disparus; 553 personnes sont mortes en mer Adriatique, entre l'Albanie, le Monténégro et l'Italie, dont 250 disparus. Mais la mer on ne la traverse pas seulement à bord des pirogues. En navigant cachés à bord de navires de cargaison régulièrement enregistrés, au moins 140 hommes sont morts asphyxiés ou noyés. Mais avant d'arriver la mer, le Sahara est un passage obligé et tout autant dangereux. Les aventuriers africains le traversent sur des camions comme sur des véhicules tout terrains le long des pistes entre le Soudan, le Tchad, le Niger et le Mali d'une côté et la Libye et l'Algérie de l'autre. Ici au moins 1.079 personnes sont mortes depuis 1996. Mais selon les survivants, presque chaque voyage compte ses victimes. Le nombre des victimes donc pourrait être bien plus élevé. Les chiffres incluent aussi les victimes des déportations collectives pratiquées par les gouvernements de Tripoli, d'Alger et de Rabat, désormais habitués à abandonner groupes de centaines de migrants en zones frontalières en plein désert. En Libye les migrants sont maltraités. Il n'y a pas de données officielles, mais au cours du 2006 Human Rights Watch et Afvic ont accusé Tripoli des détentions arbitraires et tortures dans les centres d'arrestation, dont trois sont financés par l'Italie. En septembre 2000 à Zawiyah, dans le nord-ouest du pays, au moins 560 étrangers ont été tués pendant des assauts racistes En voyageant cachés dans les camions 273 personnes ont été trouvées mortes. Et 180 migrants se sont noyées dans les fleuves délimitants la frontière, la plupart dans l'Oder-Neisse, entre la Pologne et l'Allemagne, l'Evros entre la Turquie et la Grèce, le Sava entre la Croatie et la Bosnie; et le Morava entre la Slovakie et la Republique Tchèque. Autres 108 personnes sont mortes d'hypothermie en tentant de franchir la frontière dans les montagnes, la plupart en Turquie et Grèce. En Grèce, le long de la frontière avec la Turquie, il y a encore des champs de mines. En essayant d'entrer en Grèce après avoir traversé le fleuve Evros, au moins 88 personnes y sont morts 87 migrants sont morts sous le feu de la police de frontière, dont 35 aux enclaves espagnoles au Maroc, Ceuta et Melilla, et 28 dans la province de Van, en Turquie, le long de la frontière avec l'Iran et l'Iraq. Mais d'autres personnes ont été tuées aussi en France, en Belgique et en Allemagne. 41 personnes en fin ont été retrouvées mortes dans le train d'atterrissage d'avions de ligne, 20 personnes sont mortes à Calais ou cachés sous les trains dans le tunnel sous la Manche en direction de l'Angleterre, 2 se sont noyés en essayant traverser la Manche et 12 ont perdu la vie sous autres trains en Italie, Grèce et Suisse.

Conséquences de l'immigration

Les conséquences de l’immigration clandestine sont diverses selon qu’il s’agisse des pays d’origine ou des pays d’accueil des immigrants. Dans une certaine mesure l’immigration ne peut être bénéfique que si elle contribue au comblement de déficit observé dans un domaine ou dans un autre. Elle n’est pas désirée quand elle se constitue en une charge sociale et contribue à la montée de l’insécurité. La présence des immigrants africains en occident est à la fois un gain, une menace et une charge. Elle se constituerait en une main d’œuvre à la production, si elle est bien intégrée. C’est à ce niveau qu’apparaissent une certaine discrimination entre le traitement des dossiers irréguliers venant de l’Afrique subsaharienne et leurs homologues venant des autres régions du monde. Le nombre croissant des personnes en situation irrégulière sans emploi, associé à celui de leur progéniture, présente une menace pour la sécurité en occident. La crainte est que ces personnes, en guise de pouvoir gagner la vie peuvent se livrer facilement aux anti-valeurs comme le trafic de la drogue, le vol, le réseau de faire entre les immigrants irréguliers, etc. Les dépenses sociales qu’occasionne souvent ce mouvement des immigrants constituent une charge indésirable pour les pays occidentaux.
La plupart des immigrants clandestins intellectuels en occident se retrouvent dans des situations irrégulières les empêchant ainsi de réaliser leur rêve. Cette position sociale pousse bon nombre d’entre eux à s’adonner aux travaux de basses classes par rapport à leur potentiel savoir. Néanmoins ces travaux leur permettent de nouer les deux bouts du mois et d’épargner quelque chose pour la grande famille restée en Afrique, chose difficilement réalisable en étant sur le continent. Il est à signaler que pour une famille africaine avoir un de ses membres en Occident revient à avoir une source de financement du social. La présence croissante des maisons de transfert des fonds dans la région en est une preuve éloquente. Elle se constitue en une porte d’entrée de devises étrangère. Cette source instable de financement du social est beaucoup plus favorable à la subsistance qu’à l’existence. La fuite des cerveaux constitue pour les pays africains est une conséquence négative. Elle occasionne un manque considérable des cadres qui pouvaient se mettre au service du développement conduisant à l’existence d’un monde meilleur pour tous.

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