Immigration désigne le mouvement de personnes d'un pays quelconque vers un autre pays dans le but de s'y établir. Il s'applique aux personnes à qui les autorités de l'immigration ont accordé le droit de résider au Canada en permanence. Ce concept s'applique généralement aux personnes nées à l'extérieur du Canada mais peut aussi s'appliquer à un petit nombre de personnes nées au Canada, de parents qui sont citoyens d'autres pays. De la même façon, un petit nombre de citoyens canadiens par naissance sont né(e)s à l'extérieur du Canada de parents canadiens. La désignation du statut d'immigrant reçu est accordée à vie, aussi longtemps qu'une personne réside au Canada. Par conséquent, les immigrants sont classés selon la période d'immigration dans le but de faire la distinction entre les personnes arrivées récemment et celles qui résident au Canada depuis un certain nombre d'années.
L’immigration clandestine est un phénomène qui constitue, néanmoins, un blocage pour le développement des pays pauvres, car motivé par le sous emploi des jeunes de ces pays .La résolution de ce problème est tributaire de la création des postes de travail par le biais des investissements Les grandes puissances de l’économie mondiale ont donc à leur charge l’investissement dans l’industrie lourde dans les pays africains qui fournissent cette immigration, afin de stabiliser les citoyens et en l’occurrence éviter l’envahissement de l’occidents par ces sans emploi.
Les pays, dits industrialisés ; ceux qui détiennent les économies et les finances de cette terre sont tous conscients de la gravité du phénomène pour le devenir du globe dont la population mondiale, surtout des pays sous développés, ne fait que s’accroître d’année en année. Ces puissances qui absorbent, en fait toutes, les ressources, toutes les énergies et mêmes toutes compétences de ces pays démunis, sont à l’origine de ces problèmes sociaux, car ils les ont longtemps colonisé, ce qui fait d’eux des pays aliénés et les condamne à rester pauvres, et à la merci de ces quelques pays riches au mondes, qui ne dépassent pas le chiffre sept.
Par conséquent, les citoyens de ces pays aliénés, deviennent de plus en plus pauvres, car aucune chance ne leur est offerte pour améliorer leur sort. Résultat : immigrer clandestinement vers ces pays du nord qui, aux yeux des pauvres regorgent d’opportunités de travail, d’avenir, de vie agréable.......etc.
Conséquence : les jeunes qui immigrent de manière illégale, se trouvent jetés dans les rues comme de torchons, dorment dans le gare des métros, cherchent à manger dans les poubelles, et donc tombent malades pour devenir des cas sociaux graves dans ces pays.
Quelle est la solution donc qui peut être empruntée pour amortir ce danger ? Comment s’ y prendre ?
C’est très simple, si les occidentaux veulent la paix pour leur pays et du bien pour ceux du Sud, il est important de penser à leur créer de l’emploi chez eux, en investissant dans l’industrie, le textile, l’agriculture, la pêche, l’élevage......dans le tourisme...
A titre d’exemple, l’industrie des loisirs est l’un des secteurs au monde qui peuvent absorber un nombre important de main d’œuvre. Et l’Afrique est un des continents qui regorgent de potentialités et d’atouts naturels de valeurs et de ressources naturelles et humaines qui s’apprêtent au développement du tourisme, surtout d’évasion et d’aventure. Les autorités des pays riches de la région (du bassin méditerranéen) doivent penser à ce genre d’économies et d’essayer de développer des infrastructures de base à même d’accompagner l’épanouissement socio-économique local, en créant des activités de niche, et de proximité.
Ce procédé sera bénéfique pour toutes les parties : pour les uns cela crée de l’emploi et stabilise les citoyens pour les autres favorise la production à des coûts moins chers, avec des matériaux moins chers.
Ceci va aussi favoriser l’instauration de la paix dans le monde et assurer la sécurité sociale dans toutes les régions du globe...
Sans l’adoption de cette stratégie, l’immigration clandestine ne sera jamais stoppée dans le monde entier, car il est normal et légitime qu’un affamé de l’Afrique centrale ou de l’Afrique noir s’enrage et cherche à aller là où un morceau de pain lui est offert, et son unique rêve est d’aller vers l’occident, et
Les raisons de l'immigration
Pour le migrant, l'immigration peut avoir une ou plusieurs raisons :
§ Professionnelle (mission de longue durée à l'étranger) et études ;
§ Politique (réfugié politique fuyant les persécutions) ;
§ Sécuritaire, notamment en cas de guerre dans le pays d'origine ;
§ Économique (habitant de pays pauvres cherchant un meilleur niveau de vie dans les pays riches, éventuellement temporairement) ;
§ Personnelle (volonté de s'installer dans un pays par goût, par exemple si l'on se reconnaît dans ses valeurs) ;
§ Familiale (rejoindre le conjoint, l'enfant déjà installé).
§ Fiscale (l'installation dans un pays offrant un niveau d'imposition moins élevé)
Pour les États, l'immigration peut permettre de faire face à un déficit des naissances ou encore assurer une quantité ou qualité de main-d'œuvre suffisante. Toutefois, l’immigration illégale va au-delà des souhaits des pays d’arrivée.
Aujourd'hui, les flux de migrations sont orientés aussi bien des pays en développement vers les pays développés que d'un pays développé vers un autre1. Les plus forts taux de travailleurs immigrés dans la population active se retrouvent dans les pays du Golfe Persique : 90 % aux Émirats arabes unis, 86 % au Qatar, 82 % au Koweït.
Un migrant peut ne pas être en règle au regard de la législation sur l'immigration en vigueur dans le pays de destination.
Des communes victime d'exode rural, comme Riace depuis 1998, en Italie ont une politique volontariste d'accueil de l'immigration visant à entretenir leur démographie et la vie économique locale2. En
Beaucoup de personnes quittent leurs pays pour aller se réfugier dans un autre. Ils n’ont ni les mêmes raisons, ni les mêmes origines mais ils ont comme point commun le déplacement. On les appelle les migrants.
Des raisons politiques
Tout d’abord il y a les migrants qui fuient la misère de la guerre ou les persécutions. En effet, dans certains pays, des personnes sont torturées et/ou retenues prisonnières car elles n’ont pas les mêmes idées ou opinions que les politiciens. On dit qu’elles migrent pour des raisons politiques. Elles sont le plus souvent des immigrants clandestins.
Des raisons économiques
Ensuite il y a les migrants qui partent pour trouver un meilleur travail et rapporter de l’argent a leur famille. Ils sont originaires de tous les continents, de tous les milieux. Ils ont parfois des diplômes et, dans la plupart des cas, sont des immigrants légaux. Les autres, qui n’ont pas de diplômes et sont parfois analphabètes, sont le plus souvent des immigrants clandestins, ils doivent alors travailler illégalement.
Des raisons familiales
Enfin viennent les migrants qui changent de pays simplement pour revoir leur famille. D’autres parce qu’ils y sont nés ou y ont vécu. Parfois simplement parce qu’ils ont aimé le pays pendant leurs vacances et ont décidé d’y vivre.
Les migrants peuvent donc être de tous âges, de toutes origines, de toutes couleurs de peau…Bref de partout.
Pour le migrant, l'émigration peut avoir une ou plusieurs raisons :
• professionnelle (mission de longue durée à l'étranger) et études ;
• politique (réfugié politique fuyant les persécutions) ;
• sécuritaire, notamment en cas de guerre dans le pays d'origine ;
• économique (habitant de pays pauvres cherchant un meilleur niveau de vie dans les pays riches,éventuellement temporairement) ;
• personnelle (volonté de s'installer dans un pays par goût, par exemple si l'on se reconnaît dans ses valeurs) ;
• familiale (rejoindre le conjoint, l'enfant déjà installé).
• fiscale (l'installation dans un pays offrant un niveau d'imposition moins élevé)
Pour les États, l'immigration peut permettre de faire face à un déficit des naissances ou encore assurer une quantité ou qualité de main d'œuvre suffisante. Aujourd'hui, les flux de migrations sont orientés aussi bien des pays en développement vers les pays développés que d'un pays en développement vers l'autre [1]. Les plus forts taux de population immigrée se retrouvent dans les pays du Golfe Persique : 90 % aux Émirats arabes unis, 86 % au Qatar, 82 % au Koweït. Dans le cas où un migrant n'est pas en règle en regard de la législation sur l'émigration en vigueur dans le pays de destination, on parle d'immigrant clandestin. Une controverse existe sur le sens à donner au mot immigration : s'agit-il simplement de changer de lieu (immigration temporaire) ou bien de changer d'histoire (dans le cas d'une immigration souhaitée durable et avec un désir d'intégration de ses enfants à la communauté nationale). Ce débat est souvent abordé dans ses livres par Jean-Claude Barreau, chargé de questions d'immigration sous trois gouvernements français successifs alternant les couleurs politiques.
L'immigration clandestine
L'immigration clandestine concerne, les habitants de pays pauvres cherchant un meilleur niveau de vie dans les pays plus riches et grand delta de démographie, ou des immigrants politiques non reconnus. L'immigration clandestine se fait donc illégalement : les clandestins prennent fréquemment des risques important pouvant mettre leur propre vie en péril afin de rejoindre des pays présentant des conditions de vie qu'ils espèrent meilleures. Ils n'hésitent donc pas à tout abandonner pour tenter l'aventure souvent « aidés » dans cette entreprise par des passeurs peu scrupuleux leur faisant payer un prix exorbitant pour leur fournir les moyens de franchir les obstacles naturels (mers, montagne, fleuve, etc.) ou humains (poste frontière) dans des conditions de sécurité extrêmement précaires.
Les voies de l'immigration clandestine
• Vers l'Espagne, les passages se font par le détroit de Gibraltar depuis les côtes marocaines entre Larache et Hoceima et les côtes algériennes, à Oran. Pour les îles Canaries les bateaux partent depuis les côtes du Sahara occidental, entre Tarfaya et Dakhla, de
• Les routes pour l'Italie partent de
• Pour
Chaque année des centaines de jeunes migrants meurent le long des ces routes-ci, victimes des naufrages comme du désert. En fait pour rejoindre
• Aux États-Unis, les citoyens volontaires forment des milices armées qui patrouillent le long des frontières mexicaines. La pauvreté est l'insuffisance des ressources matérielles (manque d'argent) et des conditions de vie, ne permettant pas à des êtres humains de vivre dignement selon les droits légitimes et vitaux de la personne humaine, et les condamnant aux dures difficultés de la survie au jour le jour.
Les victimes de l'immigration clandestine
Selon la revue de presse de Forteresses Europe 8.966 immigrés sont morts aux frontières de l'Europe depuis 1988, dont 3.079 sont disparus en mer. En mer Méditerranée ont perdu la vie 6.495 migrants. Dans le Canal de Sicile 2.023 personnes sont mortes, entre
Conséquences de l'immigration
Les conséquences de l’immigration clandestine sont diverses selon qu’il s’agisse des pays d’origine ou des pays d’accueil des immigrants. Dans une certaine mesure l’immigration ne peut être bénéfique que si elle contribue au comblement de déficit observé dans un domaine ou dans un autre. Elle n’est pas désirée quand elle se constitue en une charge sociale et contribue à la montée de l’insécurité. La présence des immigrants africains en occident est à la fois un gain, une menace et une charge. Elle se constituerait en une main d’œuvre à la production, si elle est bien intégrée. C’est à ce niveau qu’apparaissent une certaine discrimination entre le traitement des dossiers irréguliers venant de l’Afrique subsaharienne et leurs homologues venant des autres régions du monde. Le nombre croissant des personnes en situation irrégulière sans emploi, associé à celui de leur progéniture, présente une menace pour la sécurité en occident. La crainte est que ces personnes, en guise de pouvoir gagner la vie peuvent se livrer facilement aux anti-valeurs comme le trafic de la drogue, le vol, le réseau de faire entre les immigrants irréguliers, etc. Les dépenses sociales qu’occasionne souvent ce mouvement des immigrants constituent une charge indésirable pour les pays occidentaux.
La plupart des immigrants clandestins intellectuels en occident se retrouvent dans des situations irrégulières les empêchant ainsi de réaliser leur rêve. Cette position sociale pousse bon nombre d’entre eux à s’adonner aux travaux de basses classes par rapport à leur potentiel savoir. Néanmoins ces travaux leur permettent de nouer les deux bouts du mois et d’épargner quelque chose pour la grande famille restée en Afrique, chose difficilement réalisable en étant sur le continent. Il est à signaler que pour une famille africaine avoir un de ses membres en Occident revient à avoir une source de financement du social. La présence croissante des maisons de transfert des fonds dans la région en est une preuve éloquente. Elle se constitue en une porte d’entrée de devises étrangère. Cette source instable de financement du social est beaucoup plus favorable à la subsistance qu’à l’existence. La fuite des cerveaux constitue pour les pays africains est une conséquence négative. Elle occasionne un manque considérable des cadres qui pouvaient se mettre au service du développement conduisant à l’existence d’un monde meilleur pour tous.
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